Du Néolithique à l'Anthropocène
Il y a environ douze mille ans apparaissent en Mésopotamie les premières formes d'agriculture. Cette "Révolution Néolithique" est marquée par un abandon progressif des sociétés de chasseurs cueilleurs nomades : n'ayant plus besoin de suivre les troupeaux, l'Homme se regroupe dans les villages et devient sédentaire.
Cette nouvelle organisation entraîne l'apparition d'une spécialisation des tâches et donc des premiers métiers, mais aussi des premières inégalités sociales.
Aussi, l'Homme commence à réellement impacter son environnement en sélectionnant des espèces animales et végétales et en défrichant les forêts: pour se nourrir, il ne prélève plus ce que que la nature lui donne, il produit ce dont il a besoin.
Parallèlement, l'Homme construit les premiers monuments destinés à honorer des dieux, le soleil, ou à célébrer d'illustres défunts.
Ces changements, partis du Proche Orient , se répandent lentement et progressivement en Europe d'est en ouest à partir de -6500 avant J-C.
Ainsi, beaucoup de préhistoriens affirment que le Néolithique marque l'entrée de l'Homme dans la société moderne.
De ces bouleversements subsistent encore quelques traces aujourd'hui: les mégalithes. Présents en nombre sur le littoral breton, ces monuments prennent des formes variées : menhirs, dolmens ou tumulus. Observés comme des curiosités par les touristes, ces pierres abandonnées nous confrontent à ce temps, pas si lointain à l'échelle de l'Humanité, où les hommes décidèrent de changer de mode de vie pour un autre.
En 2021, le littoral breton est marqué par une vague d'incendies sans précédent. Conséquence du réchauffement climatique, les forêts brûlent désormais à des l'attitudes autrefois sûres.
Aujourd'hui, certains géologues et climatologues s'accordent sur un constat : nous entrons dans l'anthropocène : c'est à dire une nouvelle période géologique marquée par un changement du climat et des écosystèmes à cause des activités humaines.
Cette série, en mettant côte à côte vestiges du néolithique et conséquences du réchauffement climatique, vise à nous interroger sur notre rapport au temps, au vivant qui nous entoure, à nous questionner sur les trajectoires possible de notre Humanité.
Cette nouvelle organisation entraîne l'apparition d'une spécialisation des tâches et donc des premiers métiers, mais aussi des premières inégalités sociales.
Aussi, l'Homme commence à réellement impacter son environnement en sélectionnant des espèces animales et végétales et en défrichant les forêts: pour se nourrir, il ne prélève plus ce que que la nature lui donne, il produit ce dont il a besoin.
Parallèlement, l'Homme construit les premiers monuments destinés à honorer des dieux, le soleil, ou à célébrer d'illustres défunts.
Ces changements, partis du Proche Orient , se répandent lentement et progressivement en Europe d'est en ouest à partir de -6500 avant J-C.
Ainsi, beaucoup de préhistoriens affirment que le Néolithique marque l'entrée de l'Homme dans la société moderne.
De ces bouleversements subsistent encore quelques traces aujourd'hui: les mégalithes. Présents en nombre sur le littoral breton, ces monuments prennent des formes variées : menhirs, dolmens ou tumulus. Observés comme des curiosités par les touristes, ces pierres abandonnées nous confrontent à ce temps, pas si lointain à l'échelle de l'Humanité, où les hommes décidèrent de changer de mode de vie pour un autre.
En 2021, le littoral breton est marqué par une vague d'incendies sans précédent. Conséquence du réchauffement climatique, les forêts brûlent désormais à des l'attitudes autrefois sûres.
Aujourd'hui, certains géologues et climatologues s'accordent sur un constat : nous entrons dans l'anthropocène : c'est à dire une nouvelle période géologique marquée par un changement du climat et des écosystèmes à cause des activités humaines.
Cette série, en mettant côte à côte vestiges du néolithique et conséquences du réchauffement climatique, vise à nous interroger sur notre rapport au temps, au vivant qui nous entoure, à nous questionner sur les trajectoires possible de notre Humanité.